Série LAdultère « Élodie » (Partie 30) : La Salope, A-T-Elle Eut Ce QuElle Voulait ? Partie 3/3
Je mappelle Élodie D, cette histoire est la suite de lépisode 29 dans Série « adultère » du même auteur où javais raconté ma prime jeunesse et de la première partie de ma vie avec Anthony.
Nous étions en novembre 2009, cela faisait six mois que jétais parvenue à rester fidèle. Pourtant au super marché où je travaillais comme caissière, javais régulièrement des propositions indécentes, les occasions de tromper Anthony étaient nombreuses. Néanmoins, je savais faire face et même en manque de sexe lorsque mon mari était absent, je savais désormais contrôler mes pulsions sexuelles. Sachant que nous pourrions bientôt nous marier, je navais pas lintention de faire des écarts qui pouvaient ruiner mon bonheur. Depuis la rentrée, les anciens gérants du supermarché, Mr et Mme G avaient cédé leur affaire. Cette semaine-là, Anthony était parti le lundi et devait rentrer que le vendredi, cétait rare quil sabsente cinq jours de suite mais le travail avant tout, nous devions faire des efforts.
Le jeudi soir en sortant du travail, jétais passé chez mes copines, elles se préparaient à sortir en boite et mavaient invitée à venir avec elles, javais très envie dy aller, elles mavaient mise en émoi, je navais pas fait lamour depuis quatre jours et cela me manquait terriblement. Cependant, javais su résister et était rentrée chez-moi. Javais diner vite fait, je métais préparée pour me coucher avec ma petite chemise de nuit en soie sans rien dessous. Il était à peine 22 heures, je regardais la télé lorsque soudain, en plein milieu du film, jentendis frapper doucement à ma porte. Je me levai et en ouvrant, je vis la tête déconfite de Mr Simon G mon ancien patron devant moi : « Que vous arrive-t-il Mr G ? Ça na pas lair daller ? » Lui dis-je en linvitant à rentrer et à sassoir sur le canapé : « Non ça ne va pas Élodie » :
Vous désirez boire quelque chose ?
Je veux bien, un alcool me ferait du bien, tu es gentille.
Après nous avoir servi un verre dalcool de mirabelle, je minstallai en face de lui dans le fauteuil, sans penser que jétais en très petite tenue. Tout en parlant, il me regardait, son regard allait de mes yeux vers ma poitrine à travers le tissu transparent de ma chemise de nuit pour finir sur mon sexe nu comme un ver quil apercevait entre mes jambes, lorsque je les croisais sans y faire attention. Il mexpliqua que depuis sa retraite, Sylvie son épouse le trompait et avait décidé de le quitter. Je laimais bien Simon, cétait un type bien, à soixante-cinq ans, il navait plus grand-chose pour lui physiquement mais il était très gentil. Jétais triste pour lui, je compatissais mais je ne savais pas trop quoi dire. Alors je métais levée et métais mise à côté de lui, je lui fis une bise sur la joue et lui fit un câlin. Il avait les yeux juste sur ma poitrine, il pencha légèrement la tête et me fit une bise sur la naissance de mes seins en disant :
Tu as toujours su me faire bander ma petite puce. Regarde dans létat que tu me mets. Dit-il en sécartant et en me montrant la bosse quil avait dans le pantalon.
Voulez-vous que je vous branle pour vous soulager une dernière fois Mr G ? Lui répondis-je sans gêne, en passant ma main sur son sexe durci à travers le tissu.
Ce nétait pas la première fois que je le faisais, il le savait ce vieux salop, il était venu spécialement pour cette raison. Cependant ne désirant pas tomber dans le piège, il fallait que je résiste sil en voulait plus, je ne voulais tromper mon mari. Javais toujours aimé sa belle queue, elle nétait pas très grosse ni trop épaisse mais très esthétique avec un gros gland bien dessiné, son phallus était très dur lorsquil bandait. Entre mes mains et avec quelques coups de langue, je le fis très vite éjaculer puissamment, dans ma bouche afin de ne pas salir le sol, ni le cuir de mon salon.
Puis je servis une nouvelle tournée de mirabelle et nous avions discuté du bon vieux temps et de nos baises dans la réserve ou dans son bureau, après ce deuxième verre dalcool et les caresses entre mes jambes quil me prodiguait, jétais ivre et très excitée, Anthony et notre mariage était à des lieues de mes pensées, je ne pensais quà baiser, je voulais prendre du plaisir.
Le lendemain matin après lui avoir servi le petit déjeuner, me sentant vraiment fautive davoir succombé à mes pulsions sexuelles, je lui avais demandé de ne plus venir. Connaissant ma situation, il me lavait promis en me faisant une bise sur mes lèvres, les larmes aux yeux. Depuis son départ, je métais remise dans le droit chemin, javais une nouvelle fois su résister pendant deux mois, jusquà la Saint Sylvestre. Guillaume M mon amour de jeunesse en tant quagent de police municipal, avait vu à maintes reprises les voitures de ses anciens amis David et Nicolas devant chez nous, il sétait bien douté que je trompais mon homme avec eux. Pourtant je faisais attention car Anthony ne saperçut absolument de rien.
Le soir du réveillon du nouvel an 2010 organisé dans lentrepôt de lentreprise D de mon père. Tous les amis étaient réunis, la fête battait son plein. Peu après les douze coups de minuit et toutes les embrassades de la nouvelle année, je métais dirigée aux toilettes, Guillaume pourtant marié depuis quatre ans, ayant déjà bien arrosé la soirée, mavait suivi, et mavait attiré dans un coin sombre et me menaça de révéler mon adultère à mon mari, si je ne lui donnais pas un baiser. Ivre également et euphorique, je navais pas résisté longtemps, nous nous étions embrassés à pleine bouche :
Viens me rejoindre dans les chiottes, sinon je balance tout.
Sans attendre ma réponse, il sétait dirigé vers les toilettes, tout alla très vite dans ma tête, je nétais plus très lucide mais je ne tenais pas à ce quAnthony sache que je lavais trompé. Cependant ce soir-là, ce fut les jambes tremblantes que je lavais rejoint dans les toilettes handicapées.
Je magrippais à sa tête, je lui tirais les cheveux, je voulais quil continue. À ce moment-là, je ne pensais plus à rien, sa langue, ses doigts me faisaient tout oublier, le désir montait dans mon ventre, je le sentais venir, je me contractai une nouvelle fois lorsque jatteints lorgasme : « Que ta chatte est belle quand tu jouis. Attends je nai pas fini. » Me dit-il en sortant un préservatif de sa poche. Il défit son pantalon et baissa son slip, dévoilant sa longue queue toute gonflée de sang puis enfila la capote. Il me demanda de me retourner, docile javais très envie quil me baise enfin, plaquée contre le mur carrelé des toilettes.
Guillaume se colla contre moi, son gland disparu entre mes cuisses avant de glisser le long de ma fente mouillée puis de pénétrer ma chatte qui attendait de le recevoir. Il agrippa mes hanches et me labourait avec force et puissance, tout ce que jaimais particulièrement. Cétait tellement violent que je ne pus éviter de crier. Il plaqua sa main sur ma bouche pour mes gémissements de plaisir. Il me limait si fort que javais limpression quil me clouait au mur à chaque coup de rein. Il allait de plus en plus vite, telle une bête sauvage. De nouveau mon plaisir montait de lintérieur, je ne pouvais plus contenir mon corps.
Je contractai tous les muscles vaginaux autour de son phallus et jexplosai ma jouissance pour la seconde fois en quelques minutes. Lui non plus ne pouvait plus résister, après avoir encore donné quelques coups de reins, il se crispa en râlant et en me serrant très fort avant de se retirer.
Le voyant se diriger vers le parking, javais couru vers lui et lavait immédiatement suivi, malgré mes explications et mes pleurs, je ne pouvais nier lévidence, il monta dans sa voiture et disparut. Si Anthony navait pas fait de scandale, ce fut mon père qui mavait insulté, il ne voulait plus me voir du tout et mempêcha de dormir chez eux. Lorsque jétais monté me coucher dans notre appartement espérant que mon compagnon me pardonne, il avait sorti mes affaires de chez-lui. Il était deux heures du matin et je ne savais où aller. Javais téléphoné à Simon G, il navait pas fait la fête et était déjà couché. Cependant, gentiment il accepta de me recevoir.
En attendant, avec mon petit salaire, je ne pouvais pas reprendre un nouvel appartement, javais demandé à mon père de maider financièrement mais celui-ci ne me pardonnait toujours pas ce que javais fait au réveillon. Ne supportant plus mon comportement, il refusa catégoriquement de me prêter de largent. Voyant là un bon moyen de mavoir à ses côtés, ce fut une nouvelle fois Simon G qui qui me proposa de venir habiter dans sa maison. Résidant dans la banlieue sud, personne ne me connaissait, Mr G mamenait au travail en me laissant avant le parking et venait me rechercher au même endroit afin que lon ne nous voie pas ensemble.
Bien entendu, je regrettais cette incartade, Anthony me manquait, même si sa jalousie me pesait, il était très gentil avec moi, il mapportait la sérénité, je savais quil était prêt à tout pour moi, il madorait et me cédait tout. Malheureusement, je métais rendue compte ce soir-là, que mes parties de sexe métaient indispensables, cétait plus fort que moi. Dailleurs, je ne métais pas e pour satisfaire Simon, en contrepartie il me payait tout et il parvenait à me donner du plaisir. Mais je navais pas lintention de vivre avec ce vieux même si celui-ci était gentil, ce nétait que du provisoire.
Après cette fameuse nuit, je devinais que tout nétait pas fini, javais attendu que les choses se tassent un peu et que la colère dAnthony sapaise, avant daller mexpliquer une bonne fois pour toute et tout avouer. Après plus dun mois, lorsque jétais allée la première fois le voir pour mexcuser, celui-ci campait toujours sur ses positions et me reçut comme un chien dans un jeu de quilles. Quelques temps plus tard, gagnant très bien sa vie, il fit un crédit et acheta une petite maison mitoyenne dans le vieux village dont les façades étaient en bons état et la toiture refaite à neuf. Par contre, si celle-ci était habitable, quelques travaux daménagement intérieur restaient à faire. Anthony, avec laide de quelques amis, y passait ses week-ends.
Les dimanches suivants, je passais devant sa maison, avec lespoir quil me regarde, quil minterpelle et me fasse rentrer en vain. Je savais quAnthony était encore très amoureux, cependant, je pensais quil avait vraiment lintention de me donner une bonne leçon. Pour des raisons que jignorais, sachant que je passerais sans doute le dimanche, il amena une fille à la maison. Ce jour-là, lorsque jétais devant chez lui, afin de me rendre jalouse, il minvitait à boire le café et me montra lavancement de ses travaux. Si je navais pas pensé quil pouvait être capable de me faire une telle injure, cela me redonna la force nécessaire afin de reconquérir son cur car le premier pas était fait.
Le connaissant suffisamment, je devinais quil tenait encore à moi et quil faisait exprès de me montrer ses conquêtes car tous les week-end, une autre fille était avec lui, toutes plus belles les unes comme les autres. Je voyais que cétaient des salopes, leur présence, ne me gênait pas, je parlais de nouveau avec lui comme sil ne mavait jamais quittée, je lui demandais avec insistance de nous remettre ensemble : « Je sais très bien que tu maimes Anthony, quattends-tu pour me le dire ? » Néanmoins, il se refusait de laccepter.
Pourtant, il navait tenu quà un fil pour que nous nous réconcilions. Pour la première fois, après trois mois de séparation, ce jour-là il était seul, il mavait enlacée juste avant que je quitte la maison, je sentais bien contre mon ventre quil bandait, il devait être en manque, je me frottais contre son sexe et voulu lembrasser mais lorsque javais approché mes lèvres près des siennes, au dernier moment il se recula et sexcusa en me disant simplement « À plus ! Tu vas encore me faire, faire une connerie. » Jétais à deux doigts de réussir, jétais partie très déçue mais plein de détermination. Ce soir-là, javais épuisé Mr G tellement javais envie de baiser pour passer mes nerfs.
Plus le temps passait, plus javais des remords, je compris alors que javais fait une énorme erreur, je passais plusieurs fois dans la semaine et faisait tout, afin quil maccompagne à mes soirées mais rien ni faisait, sous prétexte quil devait finir ses travaux. Comme il navait que cela en tête, je métais proposée de lui donner un coup de main mais il refusait mon aide.
Ce ne fut quen juillet 2010, il venait de finir ses intérieurs lorsquil reçut une excellente nouvelle, son patron lui proposa de tenir une agence en ville où il deviendrait commercial sédentaire. Ce qui voulait dire meilleur salaire, plus de déplacement de plusieurs jours. Son principal rôle était de contribuer au développement de la société en intervenant comme support aux trois commerciaux de terrain. Tellement heureux de mapprendre cette bonne nouvelle, il mappela au téléphone pour minviter le samedi soir au restaurant et comme il fallait sy attendre, je métais faite très belle pour lui et je fis le nécessaire pour dormir dans sa nouvelle maison.
Ce soir-là, je crois avoir fait ma plus belle et plus longue fellation, mon Anthony était aux anges, je ne lavais jamais vu bander autant et aussi longtemps avant déjaculer. À maintes reprises lorsque je mapercevais quil allait marroser, je marrêtais un instant pour lembrasser tendrement avant de reprendre son sexe épais dans ma bouche. Après de longues minutes de supplice, nen pouvant plus, il me supplia de le laisser se vider entre mes lèvres. Ce qui ne lavait pas fait redescendre, il bandait toujours comme un taureau et sans quil mait encore touché, je mouillais tellement que dès quil pénétra son gland turgescent dans ma chatte, jatteints un orgasme incroyable, les six mois dattente devaient en être la cause. Nous avons fait lamour toute la nuit comme des fous.
Je navais plus quitté la maison et nous navions jamais reparlé de ce qui sétait passé, je métais jurée de ne plus le tromper, javais trop souffert pour le reconquérir et cette fois, je nétais pas certaine quil me pardonne de nouveau. Nous étions partis en vacances et javais emménagé toutes mes affaires dès notre retour de congé. Si pour Anthony, qui avait mal vécu le divorce de ses parents, le mariage nétait pas une priorité, bien au contraire, cela semblait très important pour moi qui voulait protéger mon avenir et celui de mes futurs s. Je sus par ma détermination et ma pugnacité, après de longues conversations et de négociations, souvent au lit, convaincre mon chéri. Nous avions décidé enfin de nous marier le 8 janvier 2011 afin de fonder notre famille.
Le couple connut six mois de bonheur. Surtout que fin mai, elle découvrit quelle était enceinte. Malheureusement, le mercredi 29 juin, la future maman fit une fausse couche dite précoce. Suite à celle-ci le couple alla connaitre des moments très difficiles. Élodie était tombée en grande dépression et cela dura presque trois ans. Anthony avait rencontré une jeune femme, sa jolie secrétaire avec laquelle il se remaria six ans plus tard, après le divorce. Aujourdhui, Élodie avec ses douze kilos en trop, vit avec Mr G son ancien patron.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Élodie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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